Mon patron m’a renvoyé pour une petite erreur, mais le karma est revenu de la manière la plus inattendue

Cela faisait quatre ans que je travaillais chez Westfield Consulting lorsque mon patron, Damien Carter, a décidé que j’étais jetable.

Je n’étais pas l’employée parfaite, mais j’étais dévouée.

Je faisais des heures supplémentaires, respectais des délais serrés et je couvrais même mes collègues quand ils avaient besoin d’aide.

Mais rien de tout cela n’a compté lorsque j’ai commis une simple erreur.

C’était une simple négligence.

Une présentation pour un client était prévue, et dans la précipitation d’une matinée chaotique, j’ai accidentellement envoyé une ancienne version au lieu de la version finale.

Le client était confus, mais compréhensif.

Je l’ai corrigé en quelques minutes, et ils étaient satisfaits.

Mais Damien ne l’était pas.

Cet après-midi-là, il m’a appelée dans son bureau, avec son expression habituelle de suffisance.

« Je ne peux pas me permettre des employés négligents, Sophie », m’a-t-il dit, en faisant glisser une lettre de licenciement sur son bureau.

« Nous avons besoin de personnes qui ne font pas d’erreurs. »

J’étais stupéfaite.

J’avais vu des collègues faire des erreurs bien plus grosses, des erreurs qui ont coûté de l’argent à l’entreprise, et ils avaient reçu des avertissements, pas un licenciement immédiat.

Mais moi, j’étais dehors.

Comme ça.

Pas de indemnités de départ, pas de seconde chance.

Je suis sortie de ce bureau en me sentant humiliée et trahie.

J’avais donné des années de ma vie à cette entreprise, et en retour, on m’a jetée comme un déchet.

J’étais en colère, mais je croyais au karma.

Et le karma ne m’a pas déçue.

Quelques mois plus tard, j’ai trouvé un travail dans une entreprise concurrente, StratEdge Solutions.

Ils ont apprécié mon expérience et m’ont même donné un salaire plus élevé.

J’ai prospéré là-bas, enfin en travaillant avec une équipe qui reconnaissait ma valeur.

Puis, quelque chose d’intéressant s’est produit.

Un matin, ma nouvelle manager, Claire, est entrée dans une réunion, particulièrement amusée.

« Devinez qui est à la recherche d’un emploi ? Damien Carter. »

J’ai failli m’étouffer avec mon café.

Damien ? L’homme qui m’avait renvoyée pour une petite erreur ? L’homme qui croyait qu’il était intouchable ?

Comme il s’est avéré, Westfield Consulting avait subi un énorme coup financier après avoir perdu plusieurs clients importants.

Apparemment, Damien avait mal géré un contrat important, un contrat qui a coûté des millions à l’entreprise.

Le conseil d’administration n’a eu aucune patience pour son arrogance et l’a renvoyé sur-le-champ.

Mais le meilleur dans tout ça ? Il avait postulé pour un poste chez StratEdge Solutions.

Et devinez qui a été invité à assister à son entretien ?

Lorsqu’il est entré dans la salle d’entretien et m’a vue assise de l’autre côté de la table, sa confiance a vacillé.

J’ai souri, gardant une expression professionnelle, mais à l’intérieur, j’ai savouré ce moment.

Il a bredouillé ses réponses, clairement conscient que la dynamique du pouvoir avait changé.

L’homme qui m’avait renvoyée aussi facilement était maintenant désespéré de trouver un emploi.

Et bien que je n’aie pas l’intention de jouer la petite vengeance, je n’en avais pas besoin.

Sa réputation parlait d’elle-même, et notre équipe a rapidement décidé qu’il n’était pas adapté pour le poste.

Damien est sorti de cette salle sans emploi, et je suis partie en sachant que le karma trouve toujours un moyen.

Parce que parfois, les plus petites erreurs ne nous définissent pas — mais la façon dont on traite les autres, oui.